Si vous avez lu notre article sur la sodomie (partie 1), toutes vos craintes (ou presque) concernant cette pratique sont balayées, vous êtes bien au courant des précautions à prendre, vous savez que ça peut être vraiment bon… et vous commencez à avoir vraiment envie d’essayer ou de continuer à faire la sodomie ! Alors voici encore de précieux conseils pour une pratique du sexe anal réussie !
Comment donner envie de faire une sodomie à sa partenaire?
La pénétration anale ne pourra donner du plaisir que si elle est vraiment désirée des DEUX côtés ! Ne forcez surtout pas votre partenaire en espérant qu’elle découvrira le plaisir de la sodomie « par la force des choses » et qu’ainsi elle aura envie de recommencer ! C’est tout le contraire : une femme tendue ou craintive ne parviendra pas à relâcher son anus et toute introduction sera alors TRÈS douloureuse, pouvant alors bloquer la personne psychologiquement pour très longtemps…
Alors, deux conseils primordiaux pour donner envie à votre partenaire si vous ne la sentez encore pas très chaude pour se faire sodomiser : d’abord en parler et ensuite, développer sa sensibilité anale, sans lui mettre la pression.
Prendre le temps d’en parler peut permettre de dissiper toutes les craintes évoquées dans notre article « La sodomie (partie 1) » : le problème de l’hygiène, de l’intimité, de la domination/soumission, de la douleur, etc. Laissez-la exprimer sans tabou ce que représente cette pratique nouvelle et inconnue pour elle ou éventuellement les mauvaises expériences qu’elle a pu avoir dans le passé, et dites-lui à votre tour ce que signifie la sodomie pour vous, en insistant sur le partage d’une intimité plus grande, sur la douceur et le plaisir que vous pourrez ressentir tous les deux.
Développer la sensibilité anale de votre partenaire, sans chercher immédiatement à la sodomiser, permettra ensuite de lui ôter toute pression qui pourrait la bloquer : elle pourra ainsi apprivoiser en douceur un plaisir anal qui pourra lui donner envie d’aller un peu plus loin… Il est très important qu’elle associe petit à petit la stimulation anale au plaisir sexuel. Ainsi, pensez à lui caresser l’anus délicatement en faisant des petits cercles avec le doigt lors d’une pénétration vaginale ou d’un cunnilingus. Cette région est très sensible et les caresses devraient être très agréables, mais ne cherchez pas forcément à faire rentrer le doigt tout de suite : il est important d’y aller vraiment étape par étape. Essayez d’abord d’associer cette stimulation à l’orgasme traditionnel afin de créer une mémoire positive en lien avec la stimulation anale. Progressivement et durant les rapports suivants, vous pourrez tenter de faire pénétrer juste le bout d’un doigt, notamment au moment de l’orgasme de votre partenaire.
Pour lui doigter l’anus, il faut enfoncer un doigt, mais pas directement (ce qui provoquerait un resserrement réflexe) : appuyez doucement la pulpe du doigt sur son anus, comme si vous pressiez une sonnette. L’anus s’ouvre alors tout seul sans forcer et accueille votre doigt (c’est une technique employée par les médecins). N’allez pas plus loin qu’une ou deux phalanges et ne bougez pas trop au début. Si vous allez trop vite au niveau du va-et-vient de votre doigt dans son anus et que votre partenaire manque d’expérience, elle aura l’impression de perdre le contrôle de son anus et d’être en train de salir les draps devant vous : le cauchemar de toute fille normalement constituée !
Si vous sentez votre partenaire plus à l’aise, vous pouvez aussi vos lèvres pour de simples bisous ou utiliser votre langue. Si vous le sentez, vous pouvez même essayer d’enfoncer votre langue dans son anus, ça peut vraiment être une sensation grisante pour tous les deux !
Essayez de reproduire ces expériences plusieurs fois : il faut parfois un peu temps pour que ces sensations « bizarres » se transforment en sensations agréables. Mais si tout se passe bien, votre partenaire ne devrait pas tarder à vous en demander un peu plus…
Comment faire une sodomie ? Nos 7 conseils et les 8 positions à pratiquer
1. Bien préparer le terrain : encore plus que pour la pénétration vaginale, de longs préliminaires sont nécessaires avant de se lancer dans une sodomie. Il est important que la femme soit complètement détendue, très excitée et qu’elle soit prête à s’abandonner complètement à vous. Si vous avez réussi à la préparer psychologiquement, il va maintenant être indispensable de la préparer physiquement. Un massage sensuel, des baisers ou des caresses sur tout le corps (en insistant sur les zones érogènes) sont une très bonne première étape. Vous pouvez ensuite tenter un cunnilingus tout en lui caressant l’anus ou si vous le sentez, vous pouvez directement vous lancer dans un anulingus pour lui faire sentir que c’est bien cette zone-là de son corps qui vous intéresse aujourd’hui.
2. Avant la pénétration : il va ensuite falloir dilater progressivement les sphincters de votre partenaire pour pouvoir la pénétrer sans lui faire mal. Vous pouvez commencer avec un doigt ou même plusieurs, ou vous servir de sextoys adaptés qui seront moins agressifs (eh oui, ils ont l’avantage de ne pas avoir d’ongle !) et choisissez-les plus petits que votre verge pour y aller en douceur. Vous pouvez même utiliser deux godemichés de tailles progressives, en commençant par un mini.
3. Pour une pénétration toute en douceur : pensez à bien lubrifier son anus et votre gland pour que vous glissiez presque aussi facilement dans son vagin. Il est parfois préférable que la femme contrôle la première pénétration : elle dirigera elle-même le sexe de son partenaire et bougera doucement pour le faire pénétrer. Si la position choisie ne lui permet pas de bouger son corps, elle pourra guider son partenaire qui commencera par suivre ses conseils à la lettre, avant de devenir plus actif… Il est très important que les hommes évaluent les réactions de leur partenaire : ne vous focalisez pas sur votre propre plaisir, messieurs, ne vous laissez pas trop emporter dans votre excitation et surtout restez bien à l’écoute ! Il est possible que la première fois, vous n’enfonciez pas votre sexe en entier. Ce n’est pas grave, ce sera déjà une première étape. La femme pourra également se caresser pendant la pénétration pour éviter de se contracter et faire oublier les quelques douleurs éventuelles – qui devraient pourtant être inexistantes si vous suivez bien tous nos conseils !
4. Trouver le rythme : il faut s’introduire très progressivement et marquer plein de temps de pause pour que la femme s’habitue petit à petit à la sensation de votre pénis dans cette partie de son corps et que cela lui devienne naturel. N’ayez pas peur de marquer de véritables temps d’arrêt : en plus d’être très excitants, ils seront vraiment rassurants pour votre partenaire. Vous pouvez alors entamer un mouvement de va-et-vient, mais très lent pour commencer. Vous pourrez ensuite accélérer le rythme en restant vigilant à ne pas lui faire mal et à lui donner autant de plaisir qu’à vous. Si votre partenaire se plaint, arrêtez-vous immédiatement et rétrogradez d’une étape.
5. Savourez : une fois que vous avez trouvez le bon rythme et que vous prenez tous les deux réellement du plaisir, vous pouvez vous laisser aller à lui parler de manière tendre ou plus torride, à la caresser ou à l’encourager à le faire elle-même. Savourez aussi le cadeau qu’elle vous fait, en prenant conscience que c’est un acte extrêmement intime. Vous ne devriez plus tarder à connaître tous les deux un orgasme très intense !
6. Se retirer aussi tout en douceur : une fois le septième ciel atteint, faites exactement l’inverse de ce que vous voyez dans les films pornos et retirez-vous très lentement pour ne pas faire mal à votre partenaire.
7. Après le rapport : essayez d’en discuter tous les deux, de voir ce que vous avez ressenti, ce que vous avez aimé ou moins aimé… Ça permettra de faire encore mieux la prochaine fois !
Les positions pour faire une sodomie
Comme pour la pénétration vaginale, la sodomie permet de faire varier les plaisirs et les positions. La femme peut être allongée sur le ventre, debout (dos à l’homme bien sûr !), couchée sur le côté, à quatre pattes, ou encore assise sur son partenaire, ce qui lui permettra de mieux contrôler la profondeur de la pénétration. Voici les positions principales pour s’initier, redécouvrir ou approfondir les plaisirs de la sodomie :
· La levrette : position classique et universellement appréciée par la gent masculine pour la vision exceptionnellement excitante qu’elle offre et pour les sensations incroyables qu’elle procure aux deux partenaires. La femme est à quatre pattes et se fait pénétrer par derrière par l’homme dressé sur ses genoux. C’est un grand classique sans grande difficulté qui permet une pénétration vive et profonde !
· L’éléphant : à partir de la position de la levrette (qui favorise l’introduction du pénis), la femme s’affaisse doucement pour que l’homme la recouvre intégralement. Allongée sur le ventre, elle peut se détendre complètement, à condition bien sûr d’avoir pleinement confiance en son partenaire, qui la maîtrise alors parfaitement en l’enveloppant de tout son poids. La femme peut laisser les jambes écartées pour faciliter la pénétration ou serrer les cuisses pour enserrer plus fermement encore la verge dans son rectum. L’homme peut se redresser sur ses avant-bras pour soulager un peu sa partenaire et pour la pénétrer plus vigoureusement. Cette position a l’avantage d’offrir un contact physique maximal, rassurant pour une pratique aussi intime que la sodomie. Mais la liberté de la femme est quasi nulle et elle peut se sentir un peu écrasée sous le poids d’un partenaire un peu trop costaud !
· L’andromaque : l’homme s’allonge sur le dos tandis que sa partenaire s’agenouille au-dessus de lui, face à lui. Cette position a le grand avantage de laisser la femme libre et active : c’est elle qui contrôle le rythme, l’angle et la profondeur de la pénétration, ce qui peut être assez rassurant pour les débutantes (ou les moins débutantes) qui ont peur des mouvements brusques ou trop violents de leur partenaire. L’homme reste passif, évitant tout mouvement inapproprié. La seule difficulté de cette position est liée à la bonne introduction initiale du sexe de l’homme de l’anus de sa partenaire : pas toujours évident pour la femme de bien se détendre au départ, ainsi en appui sur ses genoux.
· L’union de l’abeille : comme pour l’andromaque, la femme contrôle bien le mouvement. Elle est assise sur le pénis de son partenaire en lui tournant le dos, tandis que lui même est assis, les jambes dépliées en avant. La femme peut alors aller et venir verticalement, en s’appuyant sur les mains et les jambes. Son partenaire accompagne le mouvement en la soulevant par les fesses et les cuisses. Cette position a l’avantage de permettre une grande liberté de mouvements aux femmes qui auraient peur d’être un peu trop soumises à leur partenaire au cours d’une sodomie. C’est une position qui offre une grande amplitude dans le mouvement et une pénétration anale en profondeur, mais elle peut s’avérer assez fatigante à la longue, surtout pour l’homme s’il ne dispose d’aucun appui.
· Les petites cuillères : la femme s’allonge sur le côté, les jambes repliées, en position fœtale. L’homme se place derrière elle et épouse les contours de du corps de sa partenaire pour la pénétrer. L’introduction du pénis n’est pas toujours aisée dans cette position. Mais pour ceux qui y parviennent, c’est une position douce et reposante qui favorise l’intimité du couple et le laisser-aller de la femme sous les caresses de son partenaire.
· La position de l’indra : la femme, allongée sur le dos, ramène les pieds contre le buste de son partenaire, qui se dresse sur ses genoux devant elle. L’homme se penche en avant pour comprimer les cuisses de la femme contre ses seins. Cette position ne présente pas de difficulté particulière, mais elle est à réserver aux sodomites confirmés car la pénétration est maximale et les sensations vraiment intenses, notamment grâce à la compression du ventre qui rend la stimulation encore plus importante.
· La posture de la charrue : allongée sur le dos, la femme pose ses fesses au bord du lit et enserre les reins de son partenaire. L’homme s’agenouille sur le sol pour la pénétrer en gardant la verge horizontale, parallèle à l’axe du rectum. L’homme peut aussi se tenir debout si la femme s’allonge sur une table ou tout autre meuble suffisamment haut. Le confort et la difficulté de cette position dépendent en effet en grande partie de la hauteur du support qui doit correspondre à la taille de l’homme debout ou à genoux. L’alignement horizontal de la verge et du rectum procure des sensations différentes de celles ressenties lorsque la pénétration se fait de haut en bas. Cette position permet une pénétration profonde et elle est particulièrement excitante, surtout lorsqu’elle est pratiquée debout.
· L’union de l’émeu : le couple est débout et l’homme pénètre sa partenaire par derrière. En se penchant vers l’avant, la femme modifie l’angle de la pénétration et la rend plus profonde. Pour plus de stabilité, elle peut prendre appui sur un mur ou poser son buste sur une table. Elle pourra ainsi se laisser aller plus facilement et la pénétration pourra se faire plus vigoureuse. Cette position a l’avantage de permettre une pénétration très profonde selon les angles, mais elle est difficilement praticable lorsque les deux partenaires sont de tailles trop différentes.
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laura says
Merci aux auteurs pour cet article! Si seulement tous les mecs pouvaient lire ces conseils, ça nous éviterait bien certaines douleurs (et saignements des fois…)
marie says
tu l’a dit!!!
Yasser says
je suis la =)
matson says
Le première article déjà m’avait permis d’amener la chose, c’est cool qui en ait fait un deuxième !
Adam says
Y’a pas à dire, la sensation serrée que procure cette sensation n’a pas son égale !
marie says
je n’était pas assez convainque avec le premier article,mais maintenant j’y vois beaucoup plus claire.
Ellie says
très complet, super, merci pour elles. mais moi qui suis femelle, je
trouve qu’il manque tout de même un GROS conseil: messieurs sans la
forcer (elle peut ne pas être à l’aise avec ça) invitez-la gentiment à
se masturber pendant le coït anal, en le lui disant ou en portant sa
main à son clitoris.
les femmes n’ont pas de prostate, elles:
dites à un sodomite que vous lui enlever sa prostate, pas sûr qu’il
continue à apprécier autant la pratique dans les moments les plus
fougueux… au bout d’un moment l’anus -de fait très irrigué de
terminaisons nerveuses – commence à brûler un peu et ne se suffit plus
vraiment à lui-même en terme de plaisir. pour palier à ça, il faut
compléter par une stimulation clitoridienne : cette sensation
désagréable disparaît et se transforme en plaisir.
je fais faire
pause à mon chéri dès que ça devient désagréable pour repartir
doucement ensuite. il faut savoir préserver son petit cul car passé un
certain point d’irritation, il peut être très difficile de prendre à
nouveau du plaisir.
le cunnilingus-annulingus simultané et
éventuellement l’usage d’un plug anal, ça marche top pour préparer.
cet article donne de très bon conseils et beaucoup de détails: patience
et douceur. cette pratique est très excitante et très intense et c’est
vrai, elle renforce l’intimité. une belle sodomie les yeux dans les
yeux, mmmh…
Gaston says
merci je recherchais des techniques pour bien sodomiser ma femme.Je préconise un lavement avec une poire pour bien deblayer le terrain.Une bonne sodomie y a que ça de vrai !merci pour votre article ça me donne déjà quelques petites idées!