Enculer : un mot que je vais utiliser pour ce récit car je sais que la plupart des mecs utilisent ce mot et beaucoup moins le mot « sodomiser »…
Voici la suite du récit (suite de la partie dominer pour mieux satisfaire) :
On s’est ensuite revu plusieurs fois, et j’ai eu l’occasion de faire l’amour plusieurs fois avec elle et de tester un grand nombre de pratiques, que je vous raconterai en détail peut-être un peu plus tard.
On avait ensuite un code entre nous pour signifier « faire l’amour ». On avait eu la discussion suivante :
Elle : On pourrait aller chez toi.
Moi : Pourquoi faire ? (pour la titiller un peu)
Elle : Pour faire quelque chose…
Moi : Je suppose que c’est pas pour cuisiner… (avec un petit sourire complice)
Ca l’avait fait rire et on a ensuite gardé « cuisiner » comme code.
Je lui ai aussi parlé d’ArtduSexe et après quelques instants étonnée, ça l’a amusée et elle trouvait finalement que donner des (bons) conseils aux gens pour qu’ils prennent plus de plaisir était une bonne idée. Merci, je sais 🙂 . Au passage, je suis toujours étonné quand certaines personnes critiquent le principe de mon site alors que c’est tout à fait normal de vouloir donner et prendre du plaisir, en particulier avec la personne que l’on aime. Enfin bref, revenons à mon récit.
Enculer : y aller en douceur
Là je vais vous raconter le moment où elle est venue chez moi pour une sodomie. Elle m’avait dit un jour après avoir fait l’amour que c’est quelque chose qui l’avait toujours attirée, qu’elle avait réussi à prendre un peu de plaisir, mais qu’au final elle avait toujours eu un peu mal. Je lui avais répondu qu’elle pouvait prendre beaucoup de plaisir sans jamais avoir mal. Il suffit de le faire avec quelqu’un qui sait s’y prendre. Et depuis ce jour, elle m’en avait reparlé plusieurs fois et elle voulait le faire avec moi.
Elle est venue chez moi, et après quelques préliminaires bien réalisés, je l’ai allongée sur le ventre, entièrement dénudée. Je me suis mis à califourchon au niveau du haut de ses cuisses et j’ai commencé à caresser et saisir ses fesses comme j’aimais le faire. Je voulais qu’elle comprenne où je voulais en venir. Ca n’a pas manqué et elle m’a demandé si j’avais du lubrifiant, je suis allé en chercher un et j’ai mis un peu de lubrifiant sur mon pouce. Tandis que je me penchais à son niveau pour l’embrasser au niveau de sa nuque et de ses épaules, j’utilisais mon pouce (lubrifié seulement à son extrémité au niveau de la pulpe, le côté mou sous l’ongle). Mon pouce est venu au niveau de son anus, et j’ai appuyé très doucement pour faire rentrer la pulpe de mon pouce dans son anus. Le but étant de dilater très progressivement l’entrée de son anus. J’ai continué la progression et le début de mon pouce est finalement rentré tout en douceur et sans problème. Je l’ai ensuite retiré très délicatement.
Enculer : détails de l’acte
Je me suis redressé, j’ai enfilé un préservatif, mis dessus beaucoup de lubrifiant en l’étalant bien partout et en le réchauffant, et j’ai présenté mon sexe à l’entrée de son anus. Je me suis de nouveau penché un peu en avant pour que l’angle de pénétration soit meilleur, et je tenais mon sexe avec mes doigts pour bien conserver l’angle et la maitrise. Je suis rentré très très lentement. Il faut toujours rentrer en prenant beaucoup de temps, en plus de la préparation avec le pouce au préalable. Lorsque mon sexe était un peu rentré et que la partie la plus délicate était passée, j’ai arrêté de tenir mon sexe et je me suis penché un peu plus encore et rapproché mon corps du sien. J’ai continué la progression très lentement jusqu’à ce que mon sexe rentre entièrement. A ce moment-là je recouvrais son corps avec le mien, mon visage était à côté du sien. J’ai commencé à faire de très légers va-et-vient et pendant ce temps-là je lui saisissais les bras, la tête, les cheveux ou le bassin pour renforcer encore un peu plus l’idée de domination. Les va-et-vient ont commencé à s’accélérer un peu, mais je veillais bien à ce que l’amplitude soit très faible. Il faut éviter que le gland ne se retrouve à l’entrée de son anus car il y a des risques de douleur à ce niveau et des risques également que le sexe ressorte brutalement. Le sexe doit donc bien rester assez profondément à l’intérieur. Après de grands moments de plaisirs pour elle comme pour moi, j’ai fini par jouir en elle. Je me suis ensuite retiré sans tarder. Pour la sodomie il ne faut jamais traîner pour vous retirer une fois que vous avez joui. Quand il n’y a plus de mouvement, le lubrifiant sèche assez vite et l’excitation de son côté peut tomber assez vite. Ne restez donc pas longtemps en elle sans bouger, mais quand vous vous retirez, vous devez le faire très très lentement. Prenez au moins 30 secondes pour vous retirer.
Je me suis ensuite allongé à son niveau, je l’ai embrassée et je suis allé lui faire un cunnilingus, pour que le rapport se finisse en beauté par un orgasme de sa part.
Je la savais satisfaite. La confirmation n’a pas tardé à venir, elle m’a dit ça un peu plus tard dans la soirée :
« T’es le meilleur cuisinier, je pensais que j’allais avoir un peu mal. En fait j’ai JAMAIS eu mal, c’était super. Pour ton site tu pourras dire « une brésilienne a été cuisinée de toutes les façons et en voulait encore. » en se mettant à rigoler.
Ca m’a fait évidemment rire et j’étais heureux de lui avoir montrée que la sodomie ça ne faisait pas toujours mal… Il suffit de tomber sur une personne qui sait comment s’y prendre.
Alex
vincent says
j’ai connu(avec mon épouse) un Alex, cela me semble être il y a une éternité!!!!
Vincent
Quelqu'un de sauvé says
Merci énormément pour l’aide, avec ma copine on en est encore aux préliminaires et on voulait ensuite attaquer la sodomie avant de finir par des rapports vaginaux seulement nous n’avions encore jamais cuisiner et je refuse de lui faire mal, j’ai essayer sans succès et elle me supliait de réessayer donc vous me sauver la vie.
Clitorisdamour says
La description sue tu donnes c’est pour » les pucelles du cul « ?
Ma Chérie au début, il fallait y aller à tâtons, avec des gants.
Désormais, un bon paquet de gel au niveau du cul, un, puis deux voire trois doigts pour dilater les muscles de l’anus, puis t’attrape ton gland en faisant un peu attention et après quelques secondes de repos on y va.
Si je te décrivais comment s’y prennent les deux mecs qui m’enculent régulièrement, tu serais sur le cul, c’est le cas de le dire …
J’ai plutôt intérêt à être pret et entraîné
Anonyme says
Bon, ça c’est pas très bien passé, j’ai un peux trop forcé et c’est partis on déchirure anal.
Stanislas says
J’ai vécu un peu la même expérience, je lui avais un peu titillé l’anus lors de nos premiers ébats, d’abord un, puis deux doigts, tout en douceur, et c’est elle-même qui est venue un jour me demander de l’enculer et c’est le terme qu’elle avait utilisé.
En plus de lui masser longuement les fesses, surtout très près de l’anus, j’ai approché ma bouche de son petit trou et je me suis mis à le lui lécher très longtemps, en pointant ma langue à l’intérieur. Elle en a presque joui, puis j’ai continué avec mes doigts; un, deux, puis un troisième est entré. Je les ai d’abord laissés immobiles, pour que les sphincters s’habituent et se détendent. Puis je les ai fait lentement bouger dans tous les sens, tout en lui caressant le clitoris de mon pouce. La sentant prête et, je précise, à sa demande j’ai pu lui pénétrer l’anus de la moitié de mon sexe presque d’un seul coup. Puis je suis allé progressivement à fond tout en mettant quelques doigts dans sa chatte et en lui titillant le clitoris. Elle a joui en dix va-et-vient en se pinçant les tétons et moi assez vite, malgré le cockring.
Et pour finir, elle en fait de même sur moi quand c’est elle qui m’encule au gode-ceinture…
Anonyme says
J’adore me faire enculer par ma femme avec un gros gode ceinture
Anonyme says
Hum, ça fait quand même « j’ai très bien enculé ‘Elle’ et elle et sans me vanter elle a adoré ». La réalité, c’est que la réussite dépend bien plus de ‘Elle’ et que les consignes que ‘Lui’ respecte sont loin de suffire. Certaines femmes n’accepteront jamais de se faire enculer, d’autres (bien moins nombreuses) se feront prendre par le cul presque aussi facilement que par la chatte. On n’est pas dans le cerveau des gens. Alors OK, autant mettre le plus d’atouts de son côté, mais surtout ne jamais croire que si on fait comme ci ou comme ça, ça va forcément marcher. Il faut à la base un déclic en face, qui s’il ne vient pas ben il ne vient pas. Ce qui ne veut bien sûr pas dire qu’il ne viendra jamais, mais quand une femme dit d’entrée « niet » on peut attendre des années voire infiniment. Les femmes qui pratiquent la sodomie par plaisir restent une minorité, il suffit de regarder les statistiques.